I Got a Story to Tell

Who y’all talkin’ to, man ?
Uhh, écoutez, écoutez
Ceci, ici, va à tous les négros
Qui baisent des salopes folles
Dans les crèches des autres négros
Pensant que la merde est douce
Les négros rampent sur votre cul, hahaha
Les négros vivants respectent ça – écoutez

J’ai défoncé des portes pour vous, j’ai enfoncé des portes pour toi
J’ai même laissé toutes mes putains pour toi
Les négros pensent que Frankie a fouetté la chatte
Nigga, imagine ça, avec un Kodak, Insta-ma-tac
Nous ne descendons pas comme ça
Je pose mon jeu tout à fait plat
Douceur, où es-tu garée ?
Petite, mais ce cul est gros
Elle a un corps qui donne envie à un nègre de le manger
Je te baise
La salope officielle, pourtant, la bite plus dure qu’un missile, yo
Essaie de toucher, si elle trippe, elle disparaît comme Arsenio
Yo, la salope pousse un double-oh
Avec les cinq de devant, probablement un coup de connivence
Vous conduisez tous devant, je vais m’éplucher avec elle
Faites le deal avec elle, elle déconne et vole, hein ?
Ensuite, on s’est tous fait brancher
Téléviseurs, le paradis de Versace, quand je suis dedans
La merde qu’elle a ramassée, toute la merde est légitime
Elle s’est fait baiser par un joueur des New York Knicks
Nigga tricked ridiculous, the shit was plush
She’s stressing me to fuck, comme si elle était pressée
On a baisé dans son lit, assez dangereux
Je suis dans son cul pendant qu’il joue contre les Utah Jazz
Mon 112, explosion de CD, j’étais passé
Elle a joui deux fois, j’ai joui en dernier, roule l’herbe
Elle a gloussé, disant « Je fume du home-grown »
Puis j’ai entendu le gémissement, « Chérie, je suis à la maison ! »
Oui, un fourre-tout chromé pour les situations comme celle-ci
Je suis dans sa tête, je sais qu’il ne va pas aimer ça
Maintenant je suis comme, « Salope, tu ferais mieux de lui parler
Avant que ce cinquième ne lui mette une étincelle
Fuck around, shit get dark to him, put a part through him
Lose a major part to him-arm, leg…… »
Elle me supplie d’arrêter, mais ce chat se rapproche
Il devient chaud comme un toaster, j’enlève le toast, ugh
Avant que mes yeux puissent cligner
Elle crie, « Chéri, apporte-moi quelque chose à boire ! »
Il redescend, plus de temps pour réfléchir
Son cerveau s’emballe, elle me dit de rester patient
Elle ne sait pas que je suis cool comme un fan
Tableau en main, je ne veux pas l’exploser, mec
Mais je peux et je vais le faire, cependant ; J’essaie de me détendre, même si j’ai l’air un peu malade, yo
C’est venu à moi comme une chanson que j’ai écrite
J’ai dit à la salope, « Donne-moi ton écharpe, ta ta taie d’oreiller et ta corde »
Je me suis vite habillé, j’ai mis l’écharpe autour de mon visage
J’ai mis la corde à la salope, bâillonné sa bouche avec la taie d’oreiller
Play the cut, nigga coming off some Love Potion shit
Flash the heat on ’em, he stood emotionless
Dropped the glass screaming, « Don’t blast, here’s the stash ! » (Joue la coupure, nigga sortant d’un Love Potion de merde)
100$ cash ! Ne tirez pas sur mon cul, s’il vous plaît ! »
Nigga tirant des G fous du sol
Mettre des piles dans un sac à dos Prada, frapper la porte
Prendre les clés du cinq, appeler mes niggas sur le portable
« Apportez de l’herbe, j’ai une histoire à raconter », uhh….

Yo man, vos négros ne vont pas croire ce qui m’est arrivé. Tu te souviens de cette salope avec qui j’ai quitté le club, mec ? Yo, freaky yo. Je suis là-haut dans cette putain de playa, cette putain d’enculeuse de négros du cul de Knick et tout. Je suis dans la place, donc. Je ne sais pas, je ne sais pas. Un de ces nègres de six-cinq ans, je ne sais pas. Quoi qu’il en soit, je suis dans ce putain d’endroit. Alors boom, je suis dans la chatte, peu importe ce que c’est. J’ai fait des étincelles, Pop Duke s’est faufilé, il a dû pleuvoir ou quelque chose comme ça parce qu’il était dans le coin. Il m’a fait peur, il m’a fait mourir de peur, j’étais secoué, papa, mais j’ai oublié que j’avais mon Roscoe sur moi. Toujours. Tu sais comment on fait. Bref, le négro monte les escaliers, il se glisse sur les marches, la salope est toute choquée, elle le renvoie en bas pour qu’il aille chercher à boire et tout. Elle était nerveuse, j’ai dit : « Rien à foutre ! ». Je suis le négro, tu sais comment on fait, négro, style demande de rançon, j’ai mis le foulard autour de mon putain de visage. J’ai bâillonné cette salope, j’ai joué du kizzack. Bientôt ce nigga arrive dans le coin, il lui balance le Desert dans la figure et fait tomber le verre. On aurait dit que le négro s’était pissé dessus ou quelque chose comme ça, parole d’honneur ! Ahh putain. Ce nigga court jusqu’au sol, arrache le tapis, commence à me donner des papiers de fous, des papiers de fous. (Je t’avais dit que cette salope était une salope hirsute, cousin ! J’ai dit à ma mère que je baisais sa cousine, mais vous ne le savez pas ! Tu ne veux pas savoir cette merde. Vraiment si.) J’ai jeté tout ce putain d’argent dans le sac à dos Prada. Deux mots, je suis parti ! (Aucun doute, aucun doute… aucun doute !) Yo nigga got some lye, y’all got some lye ?

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