Marcus Porcius Cato

Caton d’Utique lisant le Phédon avant de se donner la mort (Cato d’Utique lisant le Phédon avant de se donner la mort). Marbre, 1840. L’œuvre a été commencée par Romand en 1832 et poursuivie par Rude après la mort de Romand en 1835.

Marcus Porcius Cato Uticencis (95 av. J.-C.-46 av. J.-C.), dit Caton le Jeune pour le distinguer de son arrière-grand-père Caton l’Ancien, était un homme politique et un homme d’État de la fin de la République romaine et un adepte de la philosophie du stoïcisme. Cato a perdu ses parents lorsqu’il était très jeune et a été élevé dans la maison de son oncle maternel. Lorsqu’il reçut son héritage, il commença à étudier la politique et le stoïcisme, qu’il pratiquait en vivant modestement, en se soumettant à des exercices vigoureux et à des froids extrêmes. Lorsque Caton est envoyé en Macédoine en tant que tribun militaire en 67 avant notre ère, il partage les dortoirs, la nourriture et le travail de ses soldats.

On se souvient de son entêtement et de sa ténacité légendaires, notamment dans sa longue opposition à Gaius Jules César, ainsi que de son immunité aux pots-de-vin et de son dégoût pour la corruption politique. Lorsqu’il fut nommé questeur en 65 avant J.-C., il poursuivit les anciens questeurs pour malhonnêteté et appropriation illégale de fonds. En tant que gouverneur de Chypre, Caton a refusé tous les pots-de-vin et a collecté une grande somme d’impôts pour l’Empire romain. Caton ne cessa jamais de s’opposer au Premier Triumvirat et, lorsque celui-ci s’effondra, il se rangea du côté de Pompée contre Jules César et s’enfuit à Utique en Tunisie. Après la bataille de Thapsus en 46 avant notre ère, Caton se suicide plutôt que de se soumettre au pouvoir de César.

Vie précoce

Marcus Porcius Cato Uticencis est né en 95 avant notre ère à Rome, fils de Marcus Porcius Cato et de son épouse Livia Drusa. Cato a perdu ses deux parents très tôt et est allé vivre dans la maison de son oncle maternel Marcus Livius Drusus, qui s’occupait également de Quintus Servilius Caepio et Servilia du premier mariage de Livia, ainsi que de Porcia (la sœur de Cato), et de Marcus Livius Drusus Claudianus (le fils adoptif de Livius). Drusus fut assassiné lorsque Cato avait quatre ans.

L’entêtement légendaire de Caton commença dès ses premières années. Sarpédon, son précepteur, rapportait un enfant très obéissant et interrogatif, bien que lent à se laisser persuader des choses et parfois difficile. Plutarque raconte que Quintus Popaedius Silo, chef des Marsi, rendit visite à son ami Marcus Livius et rencontra les enfants de la maison alors que celui-ci était impliqué dans une affaire très controversée sur le Forum romain. D’humeur enjouée, il demanda aux enfants de soutenir sa cause. Tous acquiescent et sourient, sauf Cato, qui fixe l’invité d’un regard des plus suspicieux. Silo exigea une réponse de sa part et, ne voyant aucune réponse, prit Cato et le pendit par les pieds à la fenêtre. Même là, Cato n’a rien voulu dire. Lucius Cornelius Sulla, le dictateur romain, était un ami de la famille et aimait parler avec Caton et son inséparable demi-frère efféminé Caepio, et appréciait sa compagnie même lorsque l’adolescent défiait ses opinions en public.

Débuts politiques

Après avoir reçu son héritage, Caton quitta la maison de son oncle et commença à étudier la philosophie stoïcienne et la politique. Il vivait très modestement, comme l’avait fait son arrière-grand-père Marcus Porcius Cato l’Ancien. Cato se soumettait à des exercices violents, et apprenait à supporter le froid et la pluie avec un minimum de vêtements. Il ne mangeait que ce qui était nécessaire et buvait le vin le moins cher possible. Tout cela pour des raisons philosophiques, car son héritage lui aurait permis de vivre confortablement. Il est resté longtemps dans la vie privée, rarement vu en public. Lorsqu’il apparaissait sur le forum, ses discours et ses compétences rhétoriques étaient très admirés.

Bien que Caton ait été promis à Aemilia Lepida, une patricienne, elle épousa Quintus Caecilius Metellus Scipio à la place. Il menaça de les poursuivre tous les deux devant les tribunaux, mais ses amis le convainquirent de s’effacer et d’épouser une femme appelée Atilia. Ils eurent un fils, Marcus Porcius Cato, et une fille, Porcia, qui devint plus tard la seconde épouse de Marcus Junius Brutus.

Cato fut envoyé en Macédoine comme tribun militaire en 67 avant notre ère, à l’âge de 28 ans, et se vit confier le commandement d’une légion. Il dirigeait ses hommes depuis le front, partageant leur travail, leur nourriture et leurs quartiers de sommeil. Il était strict dans la discipline et les punitions mais était néanmoins aimé par ses légionnaires. Alors que Caton était en service en Macédoine, il reçut la nouvelle que son demi-frère bien-aimé était mourant en Thrace. Il se mit immédiatement en route pour lui rendre visite, et arriva à temps pour assister à la mort de Caepio. Caton fut accablé par le chagrin et, pour une fois, il ne lésina pas sur les moyens pour organiser des funérailles somptueuses pour son frère. Caepio laissa sa fortune à partager entre sa fille Servilia et Caton.

À la fin de sa commission militaire en Macédoine, Caton fit un voyage privé à travers les provinces romaines du Moyen-Orient.

Caton et les Optimates

À son retour à Rome en 65 avant notre ère, Caton fut élu au poste de questeur. Comme pour tous les autres aspects de sa vie, il prit grand soin d’étudier le contexte nécessaire à l’exercice de ce poste, notamment les lois relatives aux impôts. L’une de ses premières actions fut de poursuivre les anciens questeurs pour malhonnêteté et appropriation illégale de fonds. Caton poursuivit également les informateurs de Sulla, qui avaient agi comme des chasseurs de têtes pendant la dictature de Sulla, malgré leurs relations politiques au sein du propre parti de Caton et malgré le pouvoir de Gnaeus Pompée Magnus, qui avait été connu comme le « boucher des adolescents » pour ses services sous Sulla. Les informateurs de Sulla furent d’abord accusés d’appropriation illégale de l’argent du trésor, puis d’homicide. À la fin de l’année, Caton se retira de sa questure mais ne cessa jamais de garder un œil sur le Trésor, toujours à l’affût d’irrégularités.

En tant que sénateur, Caton était scrupuleux et déterminé. Il ne manquait jamais une session du Sénat et critiquait publiquement ceux qui le faisaient. Dès le début, il s’est aligné sur les Optimates, la faction conservatrice du Sénat. Parmi les Optimates, Caton était considéré comme un jeune arriviste. De nombreux Optimates avaient été des amis personnels de Sulla, que Caton méprisait depuis sa jeunesse, et Caton tenta d’établir sa réputation en ramenant sa faction à ses pures racines républicaines.

Gobelet de propagande de Caton, pour sa campagne électorale pour le poste de tribun de la plèbe de 62 avant notre ère (gobelet de gauche). Ces coupes, remplies de nourriture ou de boisson, étaient distribuées dans les rues au peuple et portaient une inscription soutenant le candidat à l’élection.

En 63 avant notre ère, Caton est élu tribun de la plèbe et aide le consul, Marcus Tullius Cicéron, à faire face à la conspiration de Catilina. Lucius Sergius Catilina, un noble patricien, menait une rébellion à l’intérieur de Rome, avec l’intention de devenir roi. Cicéron et Caton écrasèrent la rébellion, poursuivirent tous les hommes impliqués et les condamnèrent à mort (une punition très inhabituelle pour un citoyen romain). Lors de la discussion publique sur le sujet, Jules César convient que les conspirateurs sont coupables, plaide contre un procès public à leur encontre, mais préconise une peine d’exil à vie pour les conspirateurs alors que leurs camarades sont encore en armes.

Lors d’une réunion du Sénat consacrée à l’affaire Catilina, Caton reproche vertement à César de lire des messages personnels alors que le Sénat est en session pour discuter d’une affaire de trahison. Caton accusa César d’être impliqué dans la conspiration et suggéra qu’il travaillait pour le compte de Catilina, en raison de la position étrange de César selon laquelle les conspirateurs ne devraient pas recevoir d’audience publique mais bénéficier de la clémence. César répond que ce n’est qu’une lettre d’amour. Ne croyant pas à l’excuse de César, Caton lui prend le papier des mains et le lit. Malheureusement, César avait raison : il s’agissait bien d’une lettre d’amour de sa maîtresse Servilia, la sœur de Caton. Cela a rapidement tourné au scandale personnel. Servilia fut divorcée de son mari, et les sénateurs romains commencèrent à protéger les femmes de leur foyer contre César.

Cato divorça d’Atilia pour adultère, et épousa Marcia, la fille de Lucius Marcius Philippus. Quelques années plus tard, cependant, son ami Quintus Hortensius, un vieil homme connu pour ses talents de rhéteur, demande la main de la fille de Caton issue de son précédent mariage. À cette époque, Porcia était mariée à Marcus Calpurnius Bibulus, qui ne voulait pas la laisser partir. Caton prit alors la décision surprenante de divorcer de Marcia et de la donner à Hortensius. Après la mort d’Hortensius, Caton épousa Marcia une seconde fois, prenant possession d’une partie de l’héritage d’Hortensius.

Caton contre le triumvirat

Après la conspiration de Catilina, Caton utilisa toutes ses compétences politiques pour s’opposer aux desseins de César et de ses alliés du triumvirat (Pompée et Marcus Licinius Crassus), qui entre eux dominaient l’État romain. Grâce à César, Pompée et Crassus ont accès à l’assemblée populaire. Par l’intermédiaire de Pompée, Crassus et César avaient accès aux légions de Rome. Par l’intermédiaire de Crassus, César et Pompée avaient le soutien des fermiers fiscaux et une fortune acquise aux dépens des provinces.

L’opposition de Caton prit deux formes. En 61 avant notre ère, Pompée revient de sa campagne d’Asie avec deux ambitions : célébrer un triomphe romain et devenir consul pour la deuxième fois. Afin de parvenir à ses deux fins, il demanda au Sénat de reporter les élections consulaires après son Triomphe. En raison de l’énorme popularité de Pompée, le Sénat était prêt à l’obliger jusqu’à ce que Caton intervienne et convainque le Sénat de forcer Pompée à choisir. Le résultat fut le troisième Triomphe de Pompée, l’un des plus magnifiques jamais vus à Rome. Caton appliqua la même loi l’année suivante à César, qui revenait de son gouvernorat d’Hispania Ulterior, mais César choisit de renoncer à son droit au Triomphe et de se présenter au poste de consul, qu’il remporta.

Lorsque César devint consul, Caton s’opposa à toutes les lois qu’il proposa, en particulier les lois agraires qui établissaient des terres agricoles pour les vétérans de Pompée sur des terres publiques. César réagit en faisant arrêter Caton alors que celui-ci prononçait un discours contre lui à la rostra. Tant de sénateurs ont protesté contre cet usage extraordinaire et sans précédent de la force en menaçant d’aller en prison avec Caton, que César a finalement cédé. Caton était également étroitement allié au collège consulaire de César, son gendre Marcus Bibulus. Pendant la majeure partie du mandat, Bibulus resta chez lui, tentant sans succès de saper les actes consulaires de César en faisant des annonces sur les présages défavorables. Caton ne relâcha jamais son opposition aux triumvirs, et tenta sans succès d’empêcher la nomination de César au poste de gouverneur de l’Illyrie et de la Gaule cisalpine pour une durée de cinq ans.

Caton à Chypre

César et ses alliés triumvirs décidèrent de faire taire l’opposition de Caton en l’envoyant hors de Rome, et lui offrirent le gouvernorat de la nouvelle province de Chypre. Caton les accusa de vouloir l’exiler, mais finit par choisir l’honneur d’être gouverneur plutôt que préteur.

Caton semblait avoir deux objectifs majeurs à Chypre. Le premier, exprimé dans une lettre à Cicéron, était de mettre en œuvre sa politique étrangère de bienveillance et de justice envers les territoires sous contrôle romain. Le second était de mettre en œuvre ses réformes de la questure à une plus grande échelle. La nouvelle province était riche à la fois en or et en opportunités d’extorsion. Contrairement à la pratique courante, Caton n’en prenait aucune et préparait des comptes immaculés pour le sénat, comme il l’avait fait plus tôt dans sa carrière de questeur. Selon Plutarque, Caton finit par réunir la somme énorme de 7 000 talents d’argent pour le trésor romain. Il s’efforçait d’anticiper tous les imprévus, jusqu’à attacher des cordes aux coffres avec un gros morceau de liège à l’autre extrémité, afin de pouvoir les localiser en cas de naufrage. Malheureusement, aucun de ses livres de comptes parfaits n’a survécu ; celui qui était en sa possession a été brûlé, l’autre a été perdu en mer avec l’affranchi qui le portait. Seule la réputation intacte de Caton le sauva des accusations d’extorsion.

Le Sénat de Rome reconnut l’effort accompli à Chypre et lui offrit une réception dans la ville, une prépotence extraordinaire et d’autres privilèges, qu’il refusa obstinément comme des récompenses illégales.

Cato dans la guerre civile

Le premier triumvirat de César, Pompée et Crassus est brisé en 54 avant notre ère, au moment même où Caton est élu préteur. Jugeant que leur ennemi était en difficulté, Caton et la faction optimiste du Sénat passèrent les années suivantes à essayer de forcer le rappel de César de Gaule, d’où César était passé illégalement en Germanie. C’était une période d’agitation politique, au cours de laquelle des démagogues patriciens comme Publius Clodius tentaient de faire carrière en gagnant le soutien du public et en recourant à la violence. Caton les combat tous, et il finit par devenir l’allié et le conseiller politique de Pompée.

En 49 avant notre ère, César franchit le Rubicon, accompagné de sa treizième légion, pour briguer un second consulat tout en maintenant une force militaire pour le protéger des poursuites. Déclaré officiellement ennemi de l’État, César poursuit le parti sénatorial, dont Caton, qui abandonne la ville pour aller lever les armes en Grèce sous la direction de Pompée. Après avoir d’abord réduit l’armée de César à la bataille de Dyrrahecium (où Caton commandait le port), l’armée dirigée par Pompée fut finalement vaincue par César à la bataille de Pharsale (48 av. J.-C.). Caton et Metellus Scipion, cependant, ne s’avouent pas vaincus et s’échappent vers la province d’Afrique pour poursuivre la résistance depuis Utique, en Tunisie. En raison de sa présence à Utique et de son commandement du port de cette ville, Caton est parfois appelé Cato Uticensis (d’Utique). Caton y rassembla 13 légions de troupes de caractère divers, qui firent des raids en Sicile, en Sardaigne et sur les côtes d’Italie. Les officiers de César, s’ils étaient capturés, étaient mis à mort sans pitié. Après avoir installé la reine Cléopâtre VII sur le trône d’Égypte, César poursuivit Caton et Metellus Scipion, et en février de l’an 46 avant notre ère, il vainquit l’armée dirigée par Metellus Scipion à la bataille de Thapsus.

Caton se trouvait à Utique et ne participa pas à la bataille, mais, ne voulant pas vivre dans un empire dominé par César et refusant même implicitement d’accorder à César le pouvoir de lui pardonner, il se suicida. Selon Plutarque, Caton a tenté de se suicider en se poignardant avec sa propre épée, mais il a échoué à cause d’une main blessée. Un des esclaves de Caton le trouva sur le sol et appela un médecin pour recoudre et bander les blessures de Caton. Cato attendit qu’ils le quittent, puis arracha les bandages et les points de suture avec ses doigts et sortit ses propres intestins, achevant ainsi sa tentative de suicide.

Réputation de Caton

Caton reste dans les mémoires comme un philosophe stoïcien et l’un des paladins les plus actifs de la République romaine. Ses normes morales élevées et sa vertu incorruptible lui ont valu les louanges même de ses ennemis politiques, comme Salluste. Après la mort de Caton, Cicéron écrivit un manifeste faisant l’éloge des qualités de Caton, auquel César (qui ne lui pardonna jamais son opposition) répondit par son discours Anticato. Le pamphlet de Cicéron n’a pas survécu, mais son contenu pourrait être déduit de la « Vie de Caton » de Plutarque, qui reprend également de nombreuses histoires que César a racontées dans son Anticato.

Les républicains sous l’Empire se souvenaient de lui avec affection, et le poète Virgile, écrivant sous Auguste, fit de Caton un héros dans son Énéide. Lucan, qui écrivit sous Néron, fit également de Caton le héros du livre IX de son épopée inachevée, la Pharsalie. De cette dernière œuvre provient l’épigramme « Victrix causa diis placuit sed victa Catoni » (« La cause conquérante plaisait aux dieux, mais la cause conquise plaisait à Caton »). Cette phrase est également inscrite à la base du mémorial aux soldats confédérés à l’extérieur du cimetière d’Arlington.

Dans La Divine Comédie de Dante, Cato est dépeint comme le gardien de l’approche vers la mer de l’île du purgatoire. Dans le Canto I, Dante écrit de Caton :

Je vis près de moi un vieillard solitaire, digne, par son aspect, de tant de révérence que jamais fils ne dut plus à son père.Longue était sa barbe et mêlée de cheveux blancs, semblables aux cheveux de sa tête, qui tombaient sur sa poitrine en deux mèches.Les rayons des quatre saintes lumières ornaient tellement son visage d’éclat que je le vis comme si le soleil eût été devant lui.

La vie de Caton est immortalisée dans la pièce de Joseph Addison, « Cato, A Tragedy », que George Washington citait souvent et faisait jouer pendant l’hiver à Valley Forge, malgré l’interdiction de telles représentations par le Congrès.

Descendants et mariages de Caton

  • Première épouse, Atilia (divorcée pour adultère)
    • Porcia, mariée d’abord à Marcus Calpurnius Bibulus, puis à Marcus Junius Brutus
    • Marcus Porcius Cato, tué ensuite lors de la seconde bataille de Philippes
  • Deuxième (et troisième) épouse, Marcia.

Chronologie

  • 95 avant notre ère – Naissance à Rome
  • 67 avant notre ère. – Tribun militaire en Macédoine
  • 65 avant notre ère – Questeur à Rome
  • 63 avant notre ère – Tribun de la plèbe, conspiration de Catilina
  • 60 avant notre ère. – Oblige César à choisir entre le consulat et le triomphe
  • 59 B.C.E. – S’oppose aux lois de César
  • 58 B.C.E. – Gouvernance de Chypre
  • 54 B.C.E. – Préteur
  • 49 avant J.-C. – César franchit le Rubicon et envahit l’Italie ; Caton part avec Pompée en Grèce
  • 48 avant J.-C. – Bataille de Pharsale, Pompée vaincu ; Caton part en Afrique
  • 46 avant J.-C.J.-C. –
    • Défait lors de la bataille de Thapsus
    • Suicide
  • Conant, Joseph Michael. The Younger Cato : A Critical Life with Special Reference to Plutarch’s Biography. New York : Conant, 1953.
  • Hughes-Hallett, Lucy. Heroes : Une histoire du culte du héros. New York, New York : Alfred A. Knopf, 2004. ISBN 1400043999.
  • Plutarque, John Dryden, et Arthur Hugh Clough. Les Vies des nobles Grecs et Romains. Chicago : Encyclopædia Britannica, 1955.
  • Plutarque. Caton le jeune. LACTOR, n° 14 : London Association of Classical Teachers, 1984. ISBN 0903625180 ISBN 9780903625180
  • Taylor, Lily Ross. La politique des partis à l’époque de César. University of California Press, Berkeley, Californie, 1971. ISBN 0520012577.
  • Wardman, Alan. Les Vies de Plutarque. Berkeley : University of California Press, 1974. ISBN 0520026632 ISBN 9780520026636

Tous les liens ont été récupérés le 13 août 2018.

  • Marcus Porcius Caton, 234-149 avant notre ère – Vies des nobles Grecs et Romains de Plutarque.

Crédits

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  • Histoire de Marcus Porcius Cato

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